l'affaire est dans le sac
Les hypers, Leclerc en tete, nous ont bien fourré, comme on dit au Québec, avec ces sacs plastiques polluants et surtout gratuits (autrefois) et personne ne s'en est rendu compte.
Sous un prétexte écologique bien à la mode, les grandes enseignes ont profité de notre culpabilité pour nous faire payer des sacs en plus des emballages des produits, souvent inutiles. J'avoue mon admiration pour ce tour de force qui a bénéficié de la docilité des consomateurs, prets à enrichir un peu plus un secteur qui mise beaucoup sur les économies d'échelle. On peut arnaquer une fois mille personnes mais pas mille fois une personne...